mardi 24 avril 2007

Les bonnes règles pour bien investir


Les marchés boursiers vous intéressent mais vous ne savez pas comment vous y prendre? Vous disposez de placements mais vous vous interrogez sur leur équilibre?
Patrick Faivre, Directeur Financier du Crédit Agricole Mutuel Pyrénées Gascogne vous donne quelques conseils


L’instabilité ponctuelle des marchés ne doit pas être un frein à l’investissement d’autant que quelques règles simples permettent de s’en prémunir.
Ainsi il est bon de respecter les trois grandes familles d’épargne en tenant compte des horizons de placement. En effet, plus la date à laquelle on pense devoir utiliser son épargne est éloignée plus on peut investir sur des actifs risqués, et inversement.
Ceci doit se traduire par une méthode de constitution de son épargne respectant les priorités suivantes :
constituer tout d’abord une épargne de précaution à disponibilité immédiate, qui sera investie sur des supports liquides et sans risques (comptes sur livrets ou SICAV monétaire).
alimenter ensuite une épargne en prévision de projets, comme l’acquisition de son habitation principale. L’horizon de placement de cette épargne est de l’ordre de quatre à cinq ans.
consacrer enfin une part de son épargne à des investissements à moyen et long terme, pour construire notamment une épargne-retraite. C’est sur ce compartiment que l’épargnant peut investir sur des actifs plus risqués (marchés boursiers) et ce d’autant plus que son besoin de disposer de cette épargne est éloigné dans le temps. Par exemple : les comptes-titres ordinaires, les plans d’épargne en actions, les assurances-vie en unités de comptes ou encore les plans d’épargne retraite populaire.
Une petite astuce : le pourcentage de son patrimoine investi sur des actifs sécurisés doit correspondre à son âge. Ainsi, à titre d’illustration : à 30 ans, on doit avoir 30% de son patrimoine sécurisé et 70% peut donc être investi sur des actifs risqués ; à 50 ans, 50% de son patrimoine doit être sécurisé et à 70 ans, c’est 70% qui doit l’être.

Diversifier pour réduire les risques

La diversification réduit les risques tout en améliorant le rendement. C’est ce cas des SICAV qui permettent une répartition géographique.

Sécuriser ses plus-values

Une bonne gestion de ses investissements boursiers consiste à analyser son patrimoine une fois par an et à ne pas hésiter à prendre ses plues-values le cas échéant.

Investir régulièrement

La régularité des investissement est gage de sécurité, tous les mois par exemple. Ainsi, en cas de baisse des marchés, la même somme d’argent permet d’acheter davantage de titres et à l’inverse moins de titres quand les marchés sont chers. Il est prouvé que cette technique d’investissement permet de faire face au mieux aux aléas des marchés et de maximiser les performances de ses investissements.


jeudi 12 avril 2007

Crédit Agricole Pyrénées Gascogne et la DDJS : Une même envie d'agir





Depuis la signature d’une convention de partenariat il y a quelques jours, le Crédit Agricole Pyrénées Gascogne et la Direction Départementale de la Jeunesse et des Sports unissent leurs volontés de soutenir financièrement les jeunes dans leurs initiatives personnelles ou collectives, dans le cadre du programme national ENVIE D’AGIR (sur notre photo, Jean Philippe, Directeur Général du Crédit Agricole Pyrénées Gascogne et Henri Miau, Directeur Départemental de la Jeunesse et des Sports).
En effet, depuis 2005, les différents dispositifs d’aide proposés au jeunes pour le soutien de leurs initiatives personnelles ou collectives par le Ministère de la Jeunesse, des Sports et de la Vie Associative ont été réunis en seul programme intitulé ENVIE D’AGIR.
Le Crédit Agricole Pyrénées Gascogne élargit ainsi les opportunités d’accompagnement des jeunes, mises en place lors de la création de la Fondation Pyrénées Gascogne en 2000, qui avait fait de la Caisse Régionale un précurseur dans le soutien aux jeunes. Depuis 2000, des centaines de jeunes de 18 à 35 ans ont pu accomplir grâce à l’aide financière de la Fondation Pyrénées Gascogne ces projets culturels, sportifs, ou humanitaires qui souvent pour eux tenaient du rêve.

vendredi 6 avril 2007

Assemblée Générale Pyrénées Gascogne: sous le signe de l'engagement

Si la tenue d’une Assemblée Générale est un moment important dans la vie d’une entreprise parce qu’elle salue les bons résultats de l’année écoulée (ou moins bons !) et s’ouvre sur les perspectives de l’année à venir, les Assemblées Générales du Crédit Agricole Mutuel Pyrénées Gascogne sont toujours des événements forts. Elles permettent aux salariés et aux élus de se rencontrer, et aux jeunes embauchés de mieux connaître cette entreprise qui est désormais la leur. Pyrénées Gascogne accueille à chacune de ses assemblées générales, une personnalité nationale représentant la direction de Crédit Agricole S.A; lundi dernier c’était René Carron, Président de Crédit Agricole S.A.

Transformé ! Littéralement transformé ! Le Parc des Expositions de Tarbes qui accueillait l’Assemblée Générale du Crédit Agricole Pyrénées Gascogne avait pris des airs de campagne bucolique… Comme sous l’effet d’un coup de baguette magique, un décor de jardin, avec sa pelouse, son arbre, quelques bottes de paille, un vélo, un panier de linge, des marguerites, de la vaisselle de couleur… (mais pas de raton laveur…) a accueilli 400 administrateurs et salariés de la Caisse Régionale.
Dans son discours, le Président Jean-Claude Rigaud a rappelé que 2006 avait été marquée par deux événements majeurs pour la Caisse Régionale, l’organisation du colloque « Perspectives Mutualistes » et le lancement de la carte sociétaire. Il a souligné l’intensification de la vie mutualiste à Pyrénées Gascogne, de la participation accrue aux Assemblées Générales de Caisses Locales, au développement du sociétariat, en passant par les actions de l’Institut de Développement Local, la Fondation Pyrénées Gascogne ou encore la Banque des jours difficiles et CAMPG Solidarité.
Jean Philippe, dans son intervention, a dit sa satisfaction des bons résultats enregistrés par la Caisse Régionale en 2006, et surtout d’une présence plus affirmée auprès des clients, « plus de contacts, plus de relation pour servir plus de clients et que chacun d’eux soit plus satisfait et plus confiant dans nos conseils ». Pour Jean Philippe, l’avenir du Crédit Agricole Pyrénées Gascogne s’appuie sur trois piliers, « la qualité des équipes, le réseau d’agences et Internet ». « Cette complémentarité a-t-il ajouté guide nos changements et inspire nos innovations ».
La deuxième partie de l’AG a permis de développer les axes stratégiques de la Caisse Régionale au long de tables rondes : Internet, la conformité, les jeunes, la création d’entreprise, les actions mutualistes sont autant de différences qui distinguent le Crédit Agricole de ses concurrents.
A l’issue de la manifestation, c’est à René Carron qu’est revenue la conclusion. Profondément imprégné d’humanisme et d’engagement, son discours a rappelé « l’histoire du Crédit Agricole se confond avec celle du territoire et de ses acteurs (…) mais les territoires et ceux qui y vivent et les animent deviennent des acteurs de la globalisation, que les marchés de nos clients sont des marchés mondiaux (…), si nous voulons continuer d’exister pour eux, nous devons pouvoir les accompagner. Le mutualisme est un concept économique et sociétal, basé sur la confiance, celle qui admet que l’on ne peut rien seul et que c’est en partageant nos valeurs que l’on peut défendre notre modèle et en faire une alternative à la standardisation. Le pouvoir dans notre conception, c’est la possibilité de faire, et non l’opportunité d’être ». Président de l’une des plus grandes banques du monde, René Carron a redit sa croyance en l’engagement. « L’engagement, c’est l’acte délibéré et volontaire d’un homme libre. Le sens que j’ai de la communauté m’invite à m’engager et à donner un peu de moi et de mon temps sans attendre systématiquement un retour. L’engagement s’appuie sur deux valeurs et une vertu : la valeur du travail, la valeur de la responsabilité, le vertu de la générosité ».
L’Assemblée Générale de Pyrénées Gascogne s’est achevée sur un moment d’émotion partagée puisque le Trophée de l’Initiative a été remis à Juan Jose Etxebarria, qui fut l’un des acteurs majeurs du rapprochement entre Pyrénées Gascogne et Bankoa, dont on fêtait cette année le 10 ème anniversaire.




Ils ont dit :

Mattin Luberriaga, Directeur d’agence à Saint Jean de Luz « J’ai beaucoup aimé le discours de René Carron, qui nous a redonné la direction vers l’avenir de notre métier, a rappelé le socle de ce qu’est le métier de banquier. La participation des jeunes embauchés aux tables rondes a été riche d’enseignements, la spontanéité de leurs réflexions fait plaisir à entendre. Et j’ai trouvé très intéressante la présentation des chiffres via le travail de la Commission des comptes sous forme de film ».

Olivier Le-Barillec, responsable Gestion multi-canal, dans l’entreprise depuis 10 mois : « C’était très intéressant, j’ai trouvé les débats très vivants, l’AG a conforté ma connaissance de l’entreprise. Et j’ai été très impressionné par René Carron, on a beaucoup appris sur le groupe, j’ai aimé son discours direct et franc, savoir que c’est quelqu’un comme lui qui dirige le groupe, c’est rassurant ».

Stéphanie Ponsin, responsable Internet, premier jour de présence dans l’entreprise le jour de l’AG. « Pour moi, cette matinée a été une véritable immersion dans les projets et les priorités de l’entreprise ! J’ai apprécié la qualité des échanges dans les tables rondes, et l’intervention originale des jeunes embauchés. Et ce décor, cette mise en scène était tellement jolie ! Ce qui est sûr, c’est que participer à l’Assemblée Générale m’a fait gagner un temps fou en découverte de l’entreprise ».

François Miginiac, Directeur du Département Produits Bancaires : « Je retiendrais surtout le discours très fort de René Carron, porteur de valeurs, de sens, enflammé, convaincu. J’ai aussi beaucoup apprécié le discours de Jean Philippe sur la cohérence entre nos agences et Internet. Par contre, pour ce qui est des tables rondes, j’ai trouvé que bien que les sujets aient été intéressants, le rythme n’était pas entraînant, ça manquait de naturel, de spontané, sauf la participation des jeunes dont les réflexions ont un peu secoué l’ambiance ! »

Micro-trottoir, micro-couloir : Le Développement Durable, c'est quoi ?

Paul, 10 ans : « le QUOI ?? , écoute Maman, arrête, on va être en retard à l’école »

Marion, 13 ans : « je crois que çà à voir avec les plantes, ou l’agriculture. C’est par rapport aux énergies renouvelables naturelles, c’est ça ? »

Jean-François , 43 ans : « je ne sais pas trop. Pour un particulier, je comprends que c’est par rapport aux économies d’énergie, mais pour une entreprise, je ne vois vraiment pas ce que cela signifie … »

Armelle , 27 ans : « bizarre, ta question ! Comment veux tu que je sache, c’est un truc en rapport avec l’écologie ? »

58, 5 % des français ont déjà entendu parler du Développement Durable mais seulement 16 % ont une réelle idée de ce que c’est . Et pour vous, c’est quoi le Développement Durable ?

jeudi 5 avril 2007

L'artisanat et le Developpement Durable


Le saviez vous ? Le développement durable un oxymore !

L’oxymore est une figure de style qui consiste à juxtaposer deux mots contradictoires, associé par la syntaxe : guerre pacifique, obscure clarté….et elle a été évoquée à propos du développement durable. En effet d’après Serge Latouche, économiste français, développement est forcément associé à la dynamique production-consommation-accumulation alors que le mot durable est justement une alternative au développement, une autre façon d’envisager le monde. Donc pour lui le DD cela n’e x is t e p a s !
Qu’en pensez vous ?



Aujourd’hui jeudi 5 avril : un zoom sur l’artisanat et le Développement Durable, avec Laure Saint-Pierre.



LN : Laure, qui es tu ?

LSP : étudiante agro Paris . Je poursuis ma formation en alternance au Marché des Agri/Pro de la Caisse Régionale.

LN : que peux tu nous dire sur le partenariat signé hier à Pau et à Bayonne avec la CMA 64 Chambre des Métiers et de l’Artisanat ?

LSP : la Chambre des Métiers souhaite inciter les artisans à s’orienter vers des démarches « Développement Durable » . Elle a donc initié les Trophées du Développement Durable 2007.


LN : ce qui signifie ?

LSP : c’est un concours , ouvert à toutes les entreprises artisanales, que leur projet en matière de développement durable soit au stade de l’idée ou de la réalisation. Les dates importantes à retenir : 31 mai pour la date limite de dépôt des candidatures et décembre 2007 : remise des trophées. Les 3 lauréats gagneront chacun 1 500 €

En fait, pour certains artisants interrogés lors de la signature de la Convention, ils sont déjà engagés dans des démarches « DD », mais sans le savoir ! Donc ce concours est une réelle opportunité pour eux de valoriser leur action.

LN : comment peut on s’inscrire ?

LSP : le plus simple, c’est de contacter la CMA 64 ou d'aller sur le site www.cm64.com : vous saurez TOUT sur les conditions d'inscription, les dates exactes ...

mercredi 4 avril 2007

L'immobilier et le Developpement Durable


Aujourd'hui mercredi 4 avril : zoom sur l ‘immobilier avec une interwiew de Thierry Tavernier, chargé de mission au sein de Pyrénées Gascogne



LN : Thierry, bonjour ! Peux tu nous préciser en quoi l’immobilier est impliqué par le « DD » ?

TT : mais c’est tout simple ! Le logement ( et le bâtiment en général ) , c ‘ est le 1er consommateur d’énergie, en raison principalement du chauffage, donc l’un des principaux secteurs d’émission de gaz à effet de serre !

Au delà des textes, des lois et des orientations prises, c’est bien CHACUN d’entre nous qui est directement concerné. Pour être concret, la consommation moyenne des logements existants est de l’ordre de 250 KWh/m2. Les objectifs pour le neuf : descendre à 50 kwh/m2 et il faudrait que le parc existant passe à 80 kwh/m2

LN : d’accord mais comment fait’on ?

Pour le neuf , la nouvelle norme est la RT 2005 ; c’est une première marche, mais l’utilisateur que nous sommes tous ne maitrise pas ces textes et surtout n’est pas directement associé aux choix proposés. Et puis ce n’est qu’un palier : quelles seront les normes de demain ? Ne vaut il pas mieux prévoir dès à présent la future norme RT2010 et se permettre ainsi une marge de manœuvre ?

Pour la rénovation de maison individuelle ou collective, c’est vrai qu’il y a encore beaucoup de questionnement car les alternatives sont encore bien plus nombreuses : que choisir ? que privilégier ? isolation ? énergie solaire ? Géothermie ? Pompe à chaleur, chaudière performantes ? ventilation ? biomasse ?… Comment s’organiser ? Pour quel budget ?

LN : au niveau du budget, n’y a til pas déjà des incitations fiscales ?

TT : certes, mais , particulièrement pour les collectivités, ces incitations n’ont pas encore « amorcé la pompe » . A l’inverse, les surconsommateurs d’énergie risquent d’être pénalisés ne serait ce que par le coût de l’énergie.

LN : en quoi Pyrénées Gascogne est il concerné ?

TT : une récente enquête nous a montré que 80 % de nos clients souhaitaient investir en « DD », dans leur propre habitation : ils sont à la recherche d’un conseil adapté, pratique et fiable, ils ne veulent surtout pas de réponse stéréotypée quasi informatisée. Ils recherchent également des moyens leur permettant de réaliser leurs envies et leurs projets.
C’est la reflexion qui est actuellement menée et qui leur sera proposée : l’approche doit être globale, incluant les investissements et les moyens nécessaires, pour des solutions proposant des économies d’énergie, des énergies renouvelables, le maintien et l’amélioration du confort, mais aussi leur utilisation optimale et leur maintenance ainsi que l’évolution des comportements.

En conclusion, je dirai qu'il n'y a pas que les énergies qui sont à renouveler !

lundi 2 avril 2007

Crédit Agricole Pyrénées Gascogne : acteur du Dévelopement Durable

Cette semaine, tout le monde va vous parler du Développement Durable, puisque c’est LA semaine du « DD ! »

Le développement Durable ? Qu’est ce que c’est ?
D’après la commission Mondiale de l’environnement , le Développement Durable , c’est un développement qui répond aux besoins du présent sans compromettre le bien –être et le développement des générations futures.
De plus il faut savoir que depuis 2001, la loi impose aux entreprises cotées de rendre compte dans leur rapport annuel des conséquences sociales et environnementales de leur activité .


Aujourd’hui, lundi 2 avril, un zoom sur l’aspect social du Développement Durable : avec l’ interview de Jean-Louis Guillaud, Mission Innovation Sociale à la DRH


LN : Jean-louis , tu es en charge de l’innovation sociale, poste créé depuis mai 2006.Où en es t’on aujourd’hui ? En quoi le Crédit Agricole Pyrénées Gascogne est-il un acteur social « DD » ?

JL : Il est important que le Crédit Agricole ait une relation durable avec ses salariés. C’est pourquoi, tout ce qui favorise les bonnes conditions de travail et le bien –être des salariés est regardé avec une grande attention.

LN : Concrètement quelles sont été les actions mises en place ?
JL : Si l’on regarde l’aspect Développement Durable ou contribution des salariés au DD, des actions très concrètes et qui vont dans « le bon sens » ont été mises en place :

* le rapprochement entre le lieu de travail et le domicile pour diminuer le total annuel de 13 000 000 km/an effectués par les salariés pour le trajet domicile/travail

* l’agrandissement du parc de véhicules de service : au total 35 véhicules « propres » ont été affecté aux trois sites .

* l’utilisation systématique de bus lors de réunions regroupant un nombre important de salariés

* enfin cela se faisait déjà, mais nous l’avons intensifié : les réunions par visio- conférence, par téléphone et les formations décentralisées sur site
LN : Le dernier numéro « papier » de Pyrénées Magazine de septembre 2006 évoquait la création de « Handicap Emploi Crédit Agricole » . Où en est- on aujourd’hui ?

JL : En effet fin 2006 a vu la création de la cellule locale: Handicap Emploi Crédit Agricole. ( HECA ) . Au total, nous sommes 6 personnes , le Directeur des Ressources Humaines, le médecin du travail des Hautes Pyrénées, un secrétaire du CHSCT, et trois personnes de la DRH , Erika Solans, Claude Bousquet et moi-même ; cette cellule est chargée de coordonner les actions en faveur des handicapés, notamment la prise en compte des aménagements nécessaires sur les postes de travail, la formation et l’embauche de nouveaux salariés ayant un handicap.

LN : Quel est son objectif ?
JL : Si l’on parle uniquement chiffres, le but est d’ atteindre , d’ici 5 ans, un taux d’emploi des handicapés de 5 % de notre effectif total. En fait , nous avions déjà commencé à travailler au deuxième semestre 2006 puisque de 3.3 % à fin 2005, nous sommes passés à 3.7 % à fin 2006 .
Au delà des chiffres, l’objectif est bien de favoriser un environnement professionnel permettant aux salariés handicapés de travailler dans les meilleures conditions possibles.

LN : Y a-t-il d’autres pistes pour 2007 ?
JL : Oui, mais les projets sont encore à l’ étude ou en cours de finalisation. Ils seront dévoilés au fur et à mesure de leur concrétisation.

LN : Un grand merci Jean Louis pour ces précisions.

Des suggestions ? Des idées ? Ce blog est là POUR ça !

LN