Katy Quiguer a 30 ans. Tétraplégique, elle travaille depuis mai 2007 au siège social du Crédit Agricole Pyrénées Gascogne à Tarbes : « Après mon accident de la route, survenu à l’âge de 16 ans, j’ai continué mes études et si l’on m’avait dit que je travaillerai un jour dans une banque, je n’y aurais pas cru ! Je participe à des actions de sensibilisation à la sécurité routière dans les écoles et je me voyais plutôt m’engager dans cette voie.
Un jour, un ami m’a parlé de ce que proposait le Crédit Agricole pour les personnes handicapées et j’ai postulé. Je suis assistante bancaire depuis le mois de mai 2007 et mon travail me plait. Mon poste a été aménagé avec un bureau électrique à hauteur variable et un casque sans fil pour répondre au téléphone. Mon employeur a embauché une personne pour venir me chercher chez moi le matin et pour me ramener le soir. Tout a été prévu et mes collègues ont même reçu une formation sur le handicap avant mon arrivée. Cela leur a permis de poser toutes les questions qu’ils n’auraient pas osé me poser directement.
Au début, mes collègues étaient un peu gênés, mais aujourd’hui je suis parfaitement intégrée et tout se passe bien. Je travaille neuf heures par semaine, ce qui me permet de poursuivre mes soins. J’aime me préparer le matin avant d’aller travailler et le fait de pouvoir dire que j’ai pu poser mes congés pour les fêtes de fin d’année était nouveau pour moi. Cela fait partie des petits détails qui ne paraissent pas importants pour beaucoup de gens, mais qui signifient beaucoup pour moi, cela m’apporte une sérénité au quotidien, l’impression d’être une personne normale ».
Un jour, un ami m’a parlé de ce que proposait le Crédit Agricole pour les personnes handicapées et j’ai postulé. Je suis assistante bancaire depuis le mois de mai 2007 et mon travail me plait. Mon poste a été aménagé avec un bureau électrique à hauteur variable et un casque sans fil pour répondre au téléphone. Mon employeur a embauché une personne pour venir me chercher chez moi le matin et pour me ramener le soir. Tout a été prévu et mes collègues ont même reçu une formation sur le handicap avant mon arrivée. Cela leur a permis de poser toutes les questions qu’ils n’auraient pas osé me poser directement.
Au début, mes collègues étaient un peu gênés, mais aujourd’hui je suis parfaitement intégrée et tout se passe bien. Je travaille neuf heures par semaine, ce qui me permet de poursuivre mes soins. J’aime me préparer le matin avant d’aller travailler et le fait de pouvoir dire que j’ai pu poser mes congés pour les fêtes de fin d’année était nouveau pour moi. Cela fait partie des petits détails qui ne paraissent pas importants pour beaucoup de gens, mais qui signifient beaucoup pour moi, cela m’apporte une sérénité au quotidien, l’impression d’être une personne normale ».
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